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7 décembre 2012 5 07 /12 /décembre /2012 16:01

Le vie est impensable. Aimable. Vivable. Au mieux. 

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 23:54

Parfois, l’amour ne suffit pas. Quand aimer n’est pas assez. On s’en va. L’amour pour soi.

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3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 00:08

- "Aujourd'hui, je sais que Jacques peut partir. Je sais que s'il disparaît, je perds tout. Mais je sais aussi que même si je perds tout, je survivrai... 

Je laisse donc la porte ouverte. Il peut ainsi s'en aller quand ça lui chante. Et comme par miracle, depuis que la porte est ouverte, il reste. 

A sa façon, bien sûr. Parce qu'il est différent de moi. Il ne peut pas réagir selon mes désirs. Tout comme je ne réagis jamais exactement selon les siens. 

C'est la magie de l'amour. Toujours ensemble et toujours séparés."

Légère comme un papillon - Michela Marzano.

 

Libre à chacun d'accepter ou de refuser la, ou plus largement, les conceptions de l'autre. On a le droit de ne pas consentir mais on ne peut pas enfermer autrui dans une vérité qui n'appartient qu'à soi... Je tends à ça, en ce moment. Ca m'angoisse. Et ça me rend heureuse.

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 23:03

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Je suis en colère, je fais face à l'immensité, sans corps. L'insurmontable au dehors et en moi. Je suis en colère, je ne trouve pas de raison. Je suis petite au royaume des morts. 

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 00:24

J'ai vu mes semaines s'effondrer. Et la nuit, s'écrouler. Je cherche l'instant du jour. Le matin, s'incliner. 

Je tends les bras au ciel. Je cèle l'effroi du combat. 

Aujourd'hui, je m'engage, je me bats. 

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 11:42

tevennec

Où, l'immensité ?
Comment, l'immensité ?

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 23:11

Je ne sais pas si ça s'applique spécialement à moi, ou, si tout le monde a eu, au moins une fois, cette impression de ne pas avancer. Pire, de voir les autres réussir et de se voir, soi, ralentir, puis s'arrêter. 

C'est ce qui se passe pour moi en ce moment. Et, je me sens affreuse. 

J'ai des tas de rêves, que je n'essaie même pas de réaliser. J'ai des tas d'aspirations auxquelles je ferme les portes. Je crois que je souffre d'insécurité. Je me lève avec ce sentiment de vulnérabilité. D'atteintes possibles. De danger. Je vis en ce moment comme dans une partie de bataille navale. J9, touchée, coulée. Je suis la personne au hasard, qui coule. Non pas par malchance mais parce que je pue l'effroi. Difficile, alors, de passer inaperçue. De se fondre dans la masse. Je suis en marge; de tout. 

Expliquer ça, aux autres, c'est difficile.

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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 23:00

Quelque chose dont je n'avais pas conscience, c'était celle de ne pas être assez souple. J'avais simplement le sentiment de devoir me protéger, des autres, du dehors, du danger. Précisément de la trahison, du sentiment d'humiliation, de la douleur, de la perte, de l'échec aussi. Ces choses, qu'inévitablement vous arrivent, et que vous cherchez à fuir, vainement.

D'esprit, de caractère, je suis despotique. J'exige de la société, j'exige des autres, de mes proches, de moi-même. Et tout ce qui n'est pas conforme à mes idées est systématiquement éliminé. 

J'ai rencontré Madame H., qui a remit en question ce mode de penser, ce mode de vivre aussi. Les autres, sont libres. J'ai le choix d'être malheureuse à force de désillusions ou j'ai le choix de laisser l'autre vivre comme il le conçoit et de l'accepter. 

Parce que ne pas relever le challenge serait pour moi une condamnation, je m'y efforce.

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 22:51

5 ans, que je suis boulimique. J’ai tout essayé pour arrêter ça. Je bouffe, et je suis morte. Ma soif de trouver une solution me pousse à essayer n’importe quoi. Les médicaments, surtout. Beaucoup. 

Mais rien ne comble mon sentiment de vide. Un trou béant, en moi.

Je suis triste et je mange. Rien ne compte que ça, manger. Je regarde toutes ces personnes qui arrivent à s’arrêter en fin de repas. Je les envie et pourtant je ne les comprends pas. 

Bouffer, moi ça m’obsède, quand pour d’autre, manger est une simple formalité.

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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 00:07

Ne rien faire, c’est se foutre la paix, et demander aux autres d’en faire autant. Se carrer de  la bouffe au fond de la gorge. Annihiler le tout. Ne reste que ça. Le silence du trop plein, le noir d’une cachette. Un instant morbide. Un instant heureux, de mort. Mais de mort pleine. 

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